0 à 6 ans : des dents de lait dont il faut prendre soin

0 - 6 ans - Cabinet AMZALAG
Les dents de lait, qui tirent leur nom de leur aspect nacré et plus blanc que les dents définitives, ont des fonctions essentielles. Elles ont un rôle masticatoire, esthétique, elles maintiennent la dimension verticale du visage et jouent un rôle primordial dans l’apprentissage de la parole. Les parents s’interrogent sur la poussée des dents de lait, leur traitement et leur chute. Il est possible de penser un parcours dentaire idéal de l’enfant qui repose sur la prévention et sur les traitements.

Bébé fait ses dents

Les premiers mois du développement de l’enfant sont perturbés par la poussée des dents de lait. Cette période est douloureuse et respecte une chronologie particulière.

L’éruption des dents de lait

Déjà, au cours de la grossesse, des bourgeons en forme de cloche commencent à se former dans les mâchoires du foetus. Ces esquisses de dents vont se calcifier progressivement. En général, la première dent du bébé (incisive) apparait lors du 6ème mois. La précocité ou le retard éventuel n’ont rien à voir avec la croissance. Il peut même arriver (mais cela demeure exceptionnel) que dès sa naissance, le nouveau-né arbore une ou deux petites dents. Tel fut le cas de Louis XIV et Napoléon.

Douleurs des poussées dentaires et symptômes associés

La poussée dentaire constitue la première rencontre avec la douleur : la dents distend la gencive et la perce. Le nourrisson est en souffrance et l’intensité de la douleur peut aller de la simple irritation de la gencive aux élancements que les adultes connaissent lors de la sortie des dents de sagesse.
La poussé dentaire est à l’origine de nombreux symptômes tels que la fièvre, l’hypersalivation, une inflammation de la gencive, une rougeur au niveau des fesses et des joues ou encore des diarrhées. Le bébé peut aussi perdre l’appétit, mordre ce qui lui passe sous la main pour soulager les gencive ou montrer une certaine propension aux pleurs.

Conseils > Gestion et traitements des douleurs
Différentes méthodes peuvent soulager la douleur causée par la poussée des dents :
– Masser les gencives du bébé à l’aide d’un baume apaisant (Dolodent, Delabarre, Weleda…). Les vertus apaisantes des massages sont largement reconnues.
– Donner du paracétamol pour calmer la douleur et faire tomber la fièvre. Il faut toutefois veiller consciencieusement à respecter le dosage en fonction de l’âge et du poids du bébé.
– Un anneau de dentition, préalablement placé au réfrigérateur, a un effet anti-inflammatoire et anesthésique.
– L’homéopathie peut aussi être envisagée pour soulager (Chamomilla 5CH).

Si les symptômes persistent, il est recommandé de consulter un pédiatre.

Succion du pouce et de la tétine

La succion du pouce ou de la tétine est un besoin naturel. Ce besoin rétablit un équilibre lorsque l’allaitement ou le biberon diminue. Cette habitude devient mauvaise si elle se prolonge après 4 ou 5 ans. Elle pourrait alors avoir des effets néfastes sur le développement des mâchoires et des dents.

Les causes

La succion du pouce peut se manifester très tôt, parfois même avant la naissance. Il a été possible de constater à l’échographie que certains foetus suçaient leur pouce dans l’utérus de leur maman. Mais le plus souvent, ce geste débute quand le bébé a quelques mois. Les moments de fatigue, d’ennui, de maladie sont autant de moments propices pour sucer son pouce. Pour le bébé, sucer son pouce est un exutoire mais c’est aussi une source de plaisir qui rappelle des sensations positives (dans le ventre de la mère ou lors de la tétée).

Les conséquences

Les conséquences d’une succion prolongée du pouce ou de la tétine sont nombreuses. Elle peut entraîner un retard de la croissance des mâchoires, une modification de l’orientation des dents, des perturbations au niveau de l’élocution ou encore des blessures au niveau du pouce, constamment dans la bouche, gercé et infecté en dessous de l’ongle.

Point médecine > La déglutition de la salive risque d’être perturbée à cause d’une succion tardive (déglutition infantile). La langue au repos est aussi basse que lors de la déglutition de la salive. Elle se trouve donc en avant, entre les dents du haut et celles du bas, elle peut aussi pousser sur les incisives au lieu de s’appuyer sur le palais afin d’exercer la pression nécessaire au développement des mâchoires. Dès lors, le développement de ces dernières est perturbé et les dents du haut sont projetées en avant.

Les conseils

Donner une tétine à son bébé dès la maternité peut entraîner une dépendance sans assurance de tranquillité car lorsque la tétine est égarée, il le fait savoir. En outre, la tétine constitue un véritable nid de germes.

  • L’arrêt de la tétine :
    Cet arrêt se fait souvent naturellement vers l’âge de 3 ans. Le désir de sucer son pouce est alors remplacé par d’autres centres d’intérêts. Toutefois, si la dépendance persiste, il faut tenter d’éloigner progressivement la tétine, pour ne pas brusquer l’enfant et pour que cette évolution soit acceptée. Pour ce faire, des heures avec et sans tétine peuvent être établies.
  • L’arrêt du pouce :
    Par définition, le pouce n’est pas un objet. Il est donc plus difficile de contrôler un membre du corps accessible à tout moment et dont l’enfant ne se détache jamais. Il faut donc identifier les moments où l’enfant suce son pouce (au coucher ou lorsqu’il est contrarié), trouver l’origine de la succion permet d’anticiper les solutions. Bien entendu, il faut communiquer avec l’enfant, lui expliquer les effets néfastes de la succion du pouce. On peut aussi lui proposer des activités qui nécessitent l’usage des deux mains, suivre les progrès, les reconnaitre et les récompenser. Si l’habitude persiste, on peu appliquer un vernis amers sur les ongles. Ces produits sont distribués en pharmacie.

Comment préserver les dents de lait ?

Le caractère éphémère des dents de lait ne justifie en rien une attitude désinvolte quant à l’hygiène dentaire. La prévention et le traitement de ces dents conditionnent la bonne santé et l’alignement harmonieux des dents définitives.

Particularités des dents de lait

Elles jouent un rôle essentiel dans la construction de l’enfant. D’abord, d’un point de vue fonctionnel, sa denture temporaire lui permet de broyer l’alimentation. Ensuite, d’un point de vue esthétique, elle permet à l’enfant de sourire et d’interagir sans gêne. Enfin, les dents de lait servent de rail conducteur pour que les dents définitives puissent évoluer dans une bonne position.

Point médecine > La dent de lait Son aspect nacré lui donne une apparence plus claire que celle des dents définitives. Son émail est moins minéralisé, moins translucide et plus mince alors que la dentine est plus poreuse que celle des dents définitives. Les dents de lait sont donc plus susceptibles aux lésions carieuses et leur nerf, plus volumineux que celui des dents définitives, est atteint plus rapidement. Des douleurs peuvent alors survenir et le risque d’infection de la dent est accru.

La première visite chez le dentiste

C’est à l’âge de 2 ans qu’une première visite est souhaitable. Le choix du praticien est important dans le sens où ce dernier doit mettre en place une relation de confiance avec les jeunes patients. Lors de la première visite, l’enfant peut se familiariser avec lui est avec son environnement de travail : le cabinet dentaire. Ensuite, la fréquence des séances à venir est déterminée avec les parents. En revanche, si votre enfant est atteint de caries précoces, votre praticien pourra adresser votre enfant à un pédodontiste.

Initiation au brossage des dents

Lorsque l’enfant parvient à coordonner ses gestes, aux alentours de 18 mois, on peut lui apprendre le jeu du brossage avec une petite brosse. Lorsqu’il saura se rincer, on pourra mettre un peu de dentifrice sans fluor en choisissant son arôme préféré. Les premiers gestes sont rarement ordonnés mais l’essentiel est de faire intégrer le réflexe du brossage, qui sera associé à un moment ludique, plaisant, et non à une corvée.

C’est à partir de 3-4 ans que l’enfant doit apprendre à se brosser méticuleusement les dents, une par une. Pour ce faire, on peut subdiviser la bouche en quatre ; en haut à gauche, en haut à droite, en bas à gauche, en bas à droite. Durant environ 30 secondes et pour chaque zone, il doit brosser successivement la face externe et la face interne de chacune de ses dents.

La brosse à dents électrique, souvent équipée d’un minuteur musical, peut être une alternative à envisager si l’enfant est réfractaire à l’utilisation de la brosse à dents manuelle. Dans tous les cas, il est important d’instaurer un temps de brossage d’au moins deux minutes, deux fois par jour : matin et soir.

Conseils > Une hygiène bucco-dentaire rigoureuse repose sur un brossage des dents biquotidien (le matin et le soir) qui doit durer au moins deux minutes. Un sablier, un chronomètre ou encore l’écoute d’une chanson peuvent aider l’enfant à respecter ce temps de brossage.

Prévention : alimentation, biberon, calcium et fluor

La bonne santé dentaire repose sur une alimentation équilibrée et une hygiène buccale rigoureuse. Un régime alimentaire déséquilibré favorise l’action destructrice des bactéries sur les dents. La carie apparait alors comme une maladie infectieuse d’origine diétético-bactérienne.
Les protides, sources d’énergie que l’on trouve dans les viandes, le poisson, les lipides ou graisses (beurre, huiles végétales) et les glucides (sucres) sont les trois grands groupes de substances de notre alimentation. Ce sont les glucides, pourtant indispensables à notre santé, qui sont responsables de l’apparition de la carie. Il convient de distinguer deux catégories de glucides : les monosaccarides, d’une part, inoffensifs pour les dents et contenus dans les fruits frais par exemple. Les autres sucres, d’autre part, totalement dépourvus de vitamines et de sels minéraux (du type saccharose), qui agressent l’émail des dents et provoquent des caries. On retrouve ce sucre dans les boissons gazeuses, les confiseries, pâtisseries ou encore les plats cuisinés. Un brossage des dents doit suivre la consommation de ce type d’aliments. Enfin, de nombreux médicaments, tel que le sirop, contiennent des sucres sous différentes formes. Là encore, le brossage est recommandé après la prise de ces médicaments.

Conseils Les conseils pour éviter les caries découlent de ces constats. Il faut éviter les sucres industriels, le grignotage entre les repas, consommer des fruits, qui contiennent des sucres naturels, qui satisfont le goût pour le sucre.

Les gestes de prévention commencent dès les premiers instants de la vie. Ainsi, il faut éviter de donner des biberons de liquides sucrés, tels que les sirops, et ce particulièrement après l’âge de 18 mois. Cette habitude, qui vise à calmer l’enfant ou à faciliter son endormissement, peut entrainer le « syndrome du biberon », qui se manifeste en premier lieu par la carie qui attaque les surfaces lisses des incisives supérieures. Ces biberons sucrés sont dit « de confort » lorsque l’enfant a dépassé l’âge du sevrage. Les dents macèrent ainsi régulièrement dans un liquide sucré et acide qui peut provoquer une déminéralisation suivie par le développement de caries.

La suppression des biberons sucrés, l’apprentissage et la pratique de la mastication d’une alimentation solide et le brossage minutieux des dents sont des moyens efficaces pour éviter ce syndrome dévastateur au niveau des dents de lait. En effet, le syndrome du biberon pourra entrainer une chute prématurée des dents de lait avec de graves désordres orthodontiques pour l’enfant. De plus, ce syndrome du biberon prédisposera l’enfant à développer des caries sur les dents définitives.

  • Le calcium
    Il joue un rôle essentiel dans l’équilibre sanguin, les noyaux cellulaires, le système nerveux et les tendons. Il est nécessaire pour la constitution et l’entretien de l’ossature et des dents. 99% du calcium se trouvent dans les os et dans les dents. Ainsi, nos besoins d’ingestion de calcium sont considérables. L’alimentation et les boissons doivent donc satisfaire à ces besoins. Pour avoir un effet bénéfique, le calcium doit toutefois être assimilé par l’organisme. Cette intégration est facilitée par la présence, dans les aliments, de minéraux (cuivre, silice) et de vitamines (C et D). Toutes ces composantes travaillent en synergie. Ainsi, les produits laitiers sont à associer à une alimentation variée et riche en fruits à coque (laitue, persil, choux…) pour favoriser une meilleure assimilation du calcium.
  • Le fluor
    Il est un des éléments constitutifs des os du corps humain. Il renforce la résistance de l’émail aux attaques bactériennes et il participe à son renforcement. Il joue aussi un rôle dans la prévention et dans la réduction des caries. Il faut veiller à ne pas en consommer en proportions excessives, ce qui pourrait engendrer une coloration et une détérioration de l’émail des dents définitives, la fluorose qui sera traitée dans un autre chapitre.

C’est en ce sens que la prescription au cas par cas a supplanté la prescription généralisée des suppléments fluorés (comprimés ou gouttes). Le dentiste et le pédiatre déterminent si une supplémentation en fluor est nécessaire en fonction des habitudes alimentaires de l’enfant, de son lieu de résidence et du dentifrice qu’il utilise.

Conseils > Dosage en fluor des dentifrices suivant l’âge
L’union française pour la santé bucco-dentaire recommande :
Un brossage à l’eau de la première dent de l’enfant à ses 2 ans.
Un brossage avec un dentifrice fluoré entre 250 et 600 ppm, soit 25 à 60 mg de fluor pour 100 grammes, entre 2 et 3 ans, lorsque l’enfant sait recracher.
Un brossage avec un dentifrice fluoré entre 500 et 1000 ppm entre 3 et 6 ans, lorsque l’enfant sait recracher.
Un brossage réalisé avec un dentifrice fluoré entre 1000 et 1500 ppm à partir de 6 ans.

Soins chez le dentiste

Si une petite tâche sombre apparait sur une des dents de votre enfant, et s’il a mal lorsqu’il mange, il peut s’agir d’une carie. Dans le doute, il faut prendre rapidement rendez-vous pour ne pas laisser le temps à la carie d’évoluer. L’évolution est rapide chez les enfants ; la dent doit donc être traitée rapidement. En outre, la douleur dentaire, qui peut être furtive, est plus accrue pour eux que pour les adultes. Elle est causée par la mastication, lorsque les aliments se tassent dans la cavité creusée par la carie. Ces lésions touchent principalement les deux molaires de lait et le traitement de la carie est adapté selon l’étendue de la lésion :

  • Après nettoyage de la lésion carieuse, et si la carie est petite, un simple composite peut être mis en place.
  • Si le nerf est atteint et si la carie est volumineuse, un traitement de pulpotomie (dévitalisation) peut être réalisé. Au cours de ce soin, la partie du nerf qui est atteinte est retirée et un produit permettant d’obturer la dent est appliqué. Si la dent de lait est fortement délabrée, le dentiste ou le pédodontiste peut placer une prothèse (couronne pédodontique) afin de protéger la dent.
  • Si la carie est très volumineuse, elle peut, dans les cas les plus extrêmes, provoquer un abcès. L’infection atteint le germe de la dent définitive, dont l’émail est abîmée, qui connait alors des retards de croissance. Dans ce cas, l’extraction de la dent est indispensable.

Comment gérer les traumatismes liés aux chocs des dents de lait ?

Avant d’avoir saisi le réflexe de protection du visage par les mains, le jeune enfant chute souvent sur les dents. Les incisives supérieures sont les premières touchées. Ces accidents surviennent à la maison ou lors d’activités extérieures et sont moins graves que lorsqu’ils se produisent sur les dents définitives. Ils ne doivent donc pas constituer une source de stress.

Comment réagir sur le moment ?

Lèvre gonflée, gencive violacée, dent cassée, déplacée ou expulsée : ce type traumatismes a de quoi impressionner. Par ailleurs, les accidents sont souvent accompagnés d’un saignement important et d’une douleur intense. Mais souvent, comme le dit l’adage, il y a « plus de peur que de mal ». Il faut apaiser ses propres angoisses pour ne pas inquiéter l’enfant, tenter de le rassurer et de le consoler.

Une fois le calme établi, il faut nettoyer la bouche de l’enfant à l’aide d’une compresse imbibée d’eau ou d’un bain de bouche sans alcool. Le paracétamol peut aussi réduire la douleur et la prise d’arnica en granulés permet à la lèvre de dégonfler.

En revanche, dans le cas de plaies profondes de la lèvre ou de la langue et de saignements importants, il est préférable de consulter rapidement un service d’urgence spécialisé en pédiatrie.

Conseils > En cas d’expulsion de la dent, il n’est pas nécessaire de la retrouver. Sur le plan médical, il n’est de toute façon pas possible de la remettre en place comme c’est le cas pour une dent définitive. Aussi, si vous craignez que votre enfants ait avalé la dent, sachez que cette incident n’a aucune répercussion sur le plan biologique.

Un avis médical dans les deux jours

Il est important que le dentiste examine votre enfant dans les 24 à 48 heures qui suivent l’accident. Le praticien doit procéder à un examen clinique et radiologique. Il accompagne le traumatisme de l’enfant, comme celui des parents, sur le plan médical et psychologique. Plus le délai entre le traumatisme et la consultation est court, plus la guérison est rapide.

Il existe deux types de traumatismes :

  • Les traumatismes sans déplacement de la dent, seulement ébréchée. Le dentiste réalise alors un polissage des angles vifs. Il peut ensuite reconstituer la dent à l’aide d’un composite s’il le juge nécessaire. S’il constate que le nerf est atteint, il faut dévitaliser la dent de lait pour éviter toute infection. Cette opération se fait sous anesthésie locale et le recours au gaz relaxant (protoxyde d’azote) peut être envisagé. Enfin, le dentiste peut conseiller un pédodontiste si nécessaire.
  • Les traumatismes avec déplacement ou expulsion de la dent sont fréquents chez les très jeunes enfants dont l’os, moins solide et encore mince, favorise le déplacement des dents au sein de l’alvéole. Par contre, si lors du choc, la dent de lait s’est enfoncée dans la mâchoire, le germe de la dent définitive pourrait être altéré et il faudra dans ce cas, consulter en urgence votre dentiste ou pédodentiste.

Un suivi régulier

Dans les mois qui suivent le choc, il arrive que la dent touchée prenne une coloration
grisâtre : le nerf et les vaisseaux ont été rompus sous l’effet du choc, la dent n’est donc plus irriguée par la circulation sanguine, elle se nécrose et se « meurt ». Cette situation n’est pas gênante puisque la dent abîmée sera remplacée par une belle dent définitive. En attendant, le dentiste surveille la dent jusqu’à ce qu’elle tombe. Mais si l’apparition de cette teinte foncée s’accompagne d’un gonflement de la gencive et/ou d’une douleur à la pression sur cette dent, il faut rapidement consulter. Le dentiste peut enlever la dent sous anesthésie locale pour ne faire courir aucun risque d’infection à la dent permanente.

Bon à savoir > On peut ajouter un conseil d’ordre administratif. Un traumatisme sur une dent temporaire peut avoir des conséquences des années après. Une déclaration d’assurance au moment de l’accident permet d’anticiper la prise en charge des soins ultérieurs.

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